9 oratoires 5 chapelles et 1 grotte
Carte à partir de Google Maps
Carte à partir de Mappy
Oratoire massif de section carrée dédié à N.D de Foy et St Hubert. A l’intérieur de la niche est déposée une statuette de St Hubert derrière laquelle est accrochée une mince plaque sur laquelle on peut lire » Heureuse celle qui a cru à la parole du Seigneur » St Luc. Il a été construit en 1733 par Nicolas Marloye décédé en 1747 et Marie Gérard (1672-1755) son épouse et réédifié en 1758 par leur fils Antoine Marloye. Cet oratoire situé au carrefour du Moulin à Vent était avant 1972 à quelque 300 mètres de l’emplacement actuel, en bordure de la route de Clairfayts. Il a été déplacé à la suite de la création d’un lotissement.
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L’oratoire N.D de Grâce situé en direction de la rue du Bosquet est édifié en brique. Sa niche est cernée par un cadre en pierre. Une plaque de béton constitue le toit de l’édifice. Sur le linteau est gravée la dédicace » Notre Dame de Grace 1823 priez pour nous ». Il est repéré sur la carte I.G.N sous appellation de la Croix-Dauchy. Il mériterait une restauration rapide.
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L’oratoire N.D de Lorette se trouve dans le bois de Nielle. Il se compose de cinq pierres formant le seuil et de trois pierres de champ constituant le corps de la niche. La couverture de celle ci est ajustée d’une pierre rectangulaire taillée ensuite en forme de pyramide sur laquelle repose une boule.
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Cet oratoire se dresse au Chemin du Moulin à Vent et Grand Pierre. Son fût en briques est de construction récente. Il était préalablement en béton. Sa niche abrite une statue de la Vierge à l’Enfant. Il a été édifié en témoignage de reconnaissance par la famille Delattre en 1881 après un accident de gazomètre où l’un des membres fut blessé.
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Oratoire de brique revêtu d’un enduit de ciment composé d’une niche à 80 cm du sol surmonté d’une sorte de grotte que l’on découvre près du stade chemin de la Roquette. Il serait selon l’Association pour la renaissance du Patrimoine du Solrézis dédié à Ste Marguerite et Ste Rolende et aurait été construit en 1896 par un tanneur Louis Magy dit le Blond.
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Oratoire avec fût en brique sur lequel repose une niche en pierre coiffée d’une pierre bandeau avec creux central à sa base. Le couronnement comprend une pierre taillée en pyramide à base carrée et une boule de pierre. Situé au lieu-dit « L’Ecrevisse » il a été réédifié en 1753 par Jean Baire. Il a été déplacé en 1982 de quelques mètres par la famille Mervin car l’équilibre de l’édifice était menacé suite au réaménagement d’un fossé.
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Oratoire dédié à N.D de Grâce de la fin du XIX siècle Chemin Ponette. Le corps de la niche est entouré de la largeur d’une brique et sa voûte composée d’un rang de briques posées de champ. La grille de la niche et la croix ont disparu. L’ensemble est en assez mauvais état.
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L’oratoire Legrand est situé au milieu d’une pâture entre le chemin de la Croix-Dauchy, la rue du Grand Jardin et la rue de Clairfayts. Il est en pierre. Une rangée de briques termine les murs juste sous le toit à quatre pans couvert d’ardoises. La niche présente un encadrement de pierres soigneusement taillées et le linteau est orné d’un bel arc en accolade.
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Oratoire à l’angle d’une maison située rue du Quartier en direction de Clairfayts. Sur la façade du toit pyramidal est gravé la mention « En reconnaissance 1948 ». Madeleine Mansy fit ériger cet oratoire en reconnaissance du fait que son fils Louis échappa à la mort. En effet le 23 octobre 1948 Louis avec son ami Fernand Godbille en voulant éliminer une souche d’arbre prépara dans un obus de la guerre 14-18 un mélange détonant qui eut pour conséquence que Louis fut blessé et perdit sa main droite. Les restes de sa main furent placés dans une boite en fer elle même scellée dans le soubassement de l’oratoire.
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Au 12-14 rue de Liessies. Cette chapelle aurait été construite en 1514 par Philippe de Lannoy seigneur de Solre-Le-Château. elle fut profanée pendant la Révolution, utilisée en 1814-1815 par les troupes russes pour leurs rites orthodoxes puis convertie successivement en cuisine et en magasin à foin. elle fut rendue au culte le 19 août 1849 grâce à la restauration de quelques habitants qui l’avaient prises en bail.
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Au hameau de l’Epine. Cette chapelle avec clocheton à abat-son fut bâtie en 1673 en remplacement d’une autre. Elle est vouée au culte de Notre-Dame des Sept Douleurs. Elle fut vendue en 1793 comme bien national avant d’être rachetée plus tard par un groupe de paroissiens de Solre qui la mirent à la disposition du clergé pour l’exercice du culte. Au début du XX siècle elle devint bien communal. En 1973 l’association « les Amis des sanctuaires et chapelles de l’Avesnois » entreprirent fort heureusement son sauvetage.
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D27-D962-rue de Glarge. Cette chapelle fut édifiée en 1732 par François Graux, seigneur de Lez-Fontaine et Eugnies, et Agnès Pisson. Son fils Pierre Joseph Graux épousa en premières noces Marie Françoise Fabry puis en 1772 Josèphe Prisse dont la 5 ème fille Pauline Graux (1817 1873) épousa Suger Sohier (1800 1881). La chapelle appartient aujourd’hui à la famille Sohier. Elle est inscrite depuis 1985 à l’inventaire supplémentaire des Monuments Historiques.
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Rue du cimetière .
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D 962 Les Nielles. Cette chapelle a été commandée en 1950 par le sénateur Derbaix auprès de l’entrepreneur Géry Bécart de St Aubert (59).
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Rue du Grand Jardin. Grotte et Vierge de l’ancien couvent des Sœurs Grises.